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A Fréjus, Marine Le Pen mobilise ses troupes pour les municipales

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La président du RN Marine Le Pen, présidente du Rassemblement National (RN), salue les gens alors qu’elle se rend au marché aux puces local « braderie » le 8 septembre 2019 à Hénin-Beaumont, dans le nord de la France. (©AFP/FRANCOIS LO PRESTI).

Marine Le Pen, venue mobiliser ses militants à Fréjus (Var) dimanche 15 septembre 2019 en vue des municipales de mars prochain, a vanté le « socle solide » de son parti face à la société de « l’insécurité » proposée selon elle par Emmanuel Macron, les yeux déjà tournés vers la présidentielle 2022.

Emmanuel Macron « fait sauter tous les repères et (…) nous fait entrer dans une société que je qualifierais de liquide, une société où plus rien n’est sûr« , »une société de l’insécurité généralisée, une société où tout est précaire, éphémère, incertain », a dénoncé la finaliste de la présidentielle en 2017.

« Pas sûr de garder son travail, pas sûr de ne pas être muté de manière autoritaire, pas sûr de son âge de départ à la retraite, ni même du montant de sa pension, pas sûr que ses enfants reviendront sains et saufs d’une sortie entre amis », a ajouté la cheffe du RN, devant quelque 1200 militants.

« Dans ce contexte, le Rassemblement national constitue un socle solide et durable, il est la certitude d’une politique qui pose des limites, des règles, des droits, des garanties pour chacun », a-t-elle fait valoir dans cette ville dirigée par le RN.

Les yeux tournés vers la présidentielle, elle a redit que les municipales, puis les départementales et les régionales en 2021, étaient « des mousquetons qu’on fixe sur la paroi pour grimper jusqu’à l’objectif final », proposant au passage le retour à un septennat, non renouvelable.

Lire aussi : Jean-Marie Le Pen mis en examen pour les emplois présumés fictifs du Rassemblement national

« Fracture territoriale »

Et pour elle, la « grande affaire de la présidentielle », qui peut se décliner dans les communes, sera de « réparer la fracture territoriale » avec une « grande politique d’aménagement du territoire » basée sur la « relocalisation des activités » dans les zones rurales désertées, pour qu’elles deviennent des « zones France ».

« Cette révolution de la proximité, qui est la pierre angulaire de notre projet, nous conduit à (…) la civilisation écologique », a plaidé la dirigeante d’extrême droite.

La cheffe du RN ne s’est pas attardée comme l’an dernier sur l’immigration et l’insécurité, qui restent cependant des « priorités » pour les futurs maires et la dizaine de villes gagnées en 2014, dont elle a vanté le bilan.

Elle s’est offusquée de n’avoir « aucun temps de parole » au débat sur l’immigration prévu le 30 septembre à l’Assemblée, et a promis de « se faire entendre autrement » sur ce sujet fétiche du RN. « On est chez nous », ont alors scandé ses militants.

Voyant une « victoire idéologique » dans la nomination controversée d’un commissaire européen à la protection du mode de vie européen, elle ajouté que Bruxelles se voit obligée de « reconnaître que l’immigration pose la question du maintien du mode de vie des Européens ».

La présidente d RN Marine Le Pen, durant son discours à l'université d'été du parti le 15 septembre 2019 à Fréjus.

La présidente d RN Marine Le Pen, durant son discours à l’université d’été du parti le 15 septembre 2019 à Fréjus. (©AFP/CLEMENT MAHOUDEAU)

« Union nationale » plutôt que « union des droites »

Le scrutin municipal s’annonce pour le RN moins favorable que les européennes. Il s’agit surtout pour le RN de s’implanter davantage, en irriguant autour de la dizaine de villes déjà conquises, dans ses bastions du Nord-Pas-de-Calais et du pourtour méditerranéen.

Le parti mise sur l’ouverture à des personnalités extérieures, comme à Paris, à Carpentras (Vaucluse), ou à Perpignan, où l’ancien compagnon de Marine Le Pen, Louis Aliot se présente sans étiquette.

L’accent est également mis sur les jeunes, souvent rapidement promus dans ce parti. David Rachline, élu à 26 ans maire de Fréjus (53 000 habitants), la plus grosse ville tenue par le RN, les a appelés à se présenter « pour tout remettre à plat », y compris les subventions aux associations qui promeuvent « le vivre-ensemble ».

Dans ses habits de « première opposante », la cheffe du RN s’est démarquée de son encombrante nièce Marion Maréchal, invitée vedette d’une « convention de la droite » le 28 septembre.

Marine Le Pen a défendu une stratégie « d’union nationale » plutôt que « d’union des droites », soutenue par Marion Maréchal, qu’elle trouve par ailleurs « peut-être un peu jeune » pour représenter le RN en 2022.

Leur point commun reste de préparer l’alternance à Emmanuel Macron, qui n’en a pas fini avec les « éruptions volcaniques » du type « gilets jaunes », a prédit Marine Le Pen.

Enfin, contrairement à 2018, elle n’a pas fait allusion à ses alliés en Europe, comme le FPÖ autrichien et la Ligue italienne, qui ne sont aujourd’hui plus au pouvoir.

Source : © 2019 AFP


Sarthe. 3 blessés dans un accident à Tuffé Val de Chéronne

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Les pompiers de Montfort et de Tuffé sont intervenus  à Tuffé Val de Chéronne.

Les pompiers de Montfort et de Tuffé sont intervenus à Tuffé Val de Chéronne.

Un accident s’est produit, le dimanche 15 septembre, à Tuffé Val de Chéronne. Bilan : trois blessés légers.

Trois blessés

Un accident de la circulation routière a eu lieu, Tuffé Val de Chéronne, ce dimanche 15 septembre, à 17h21. Trois blessés légers ont été transportés au CH Le Mans.

Près de Forges-les-Eaux : Les boxers, une affaire de famille pour Daniel et Marie-Françoise

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Avec leurs chiens, Marie-Françoise et Daniel ont remporté de très nombreuses coupes dans des concours internationaux.

Avec leurs chiens, Marie-Françoise et Daniel de Haussez ont remporté de très nombreuses coupes dans des concours internationaux. (©L’Eclaireur-La Dépêche)

Sur les meubles de la Villa Patience trônent des centaines de coupes. Ces dernières décennies, aux concours régionaux ou nationaux, en championnats standards ou de conformité, plusieurs boxers élevés par Marie-Françoise Minpiot et Daniel Sauvet ont obtenu des  prix et des reconnaissances.

Lire aussi : 8e Régionale d’élevage de Boxers le 28 août à Forges

Nombre de chiots ont été confirmés car ils ont acquis les aptitudes de conformité aux standards de beauté et de docilité.

Par exemple, au bois de l’Épinay de Forges-les-Eaux, il y a quelques années, la chienne Flores a été classée meilleure Baby puis meilleure Puppy. Elle est ensuite devenue meilleure Espoir avant d’entamer une carrière internationale tout en étant primée dans des pays tels que l’Allemagne ou l’Italie.

Marie-Françoise et Daniel ont toujours présenté des boxers durant les onze éditions successives à la Grange de Forges-les-Eaux. Cette année, trois d’entre eux ont été confirmés et deux autres sont entrés dans le ring d’honneur.

« Le boxer est un animal noble »

Daniel explique :

 Le boxer est un animal noble. On donne un nom de noblesse à la naissance du chiot, puis, en l’éduquant essentiellement par le jeu et en lui apportant beaucoup de soins, on lui donne ses titres de noblesse.

Même le nom de leur résidence n’a pas été choisi à la légère :

 Nous avons appelé ce lieu Villa Patience car ces chiens ont une patience infinie à attendre sagement leur maître et surtout à jouer avec les enfants.

Une grande famille

Marie-Françoise Mimpiot et Daniel Sauvet y ont élevé jusqu’à 7 chiens. Ils vouent une passion à l’éducation de ses chiens dont la race d’origine allemande se caractérise par une robe fauve ou bringée (1 tiers de blanc minimum), une tête carrée et une ossature puissante.

L’éleveuse n’est pas en reste de compliments à l’adresse de ses canidés :

Noble et puissant, le boxer fait partie intégrante de la famille : gentil avec les enfants, bon gardien, sportif, il est un peu espiègle avec un brin de fantaisie.

« Il aime bien le canapé ! »

Elle poursuit : « Le côtoyer au quotidien, c’est partager avec lui une complicité pleine de tendresse ». Et de noter au passage : « Il aime bien le canapé ».

Ces deux passionnés, inscrits à la fédération française des boxers (AFB) ont maintenant du mal à se déplacer. Pour courir aux côtés des chiens, lors des présentations, de jeunes éducateurs viennent les rejoindre et s’occupent des descendants de la première femelle boxer Gitane de la Hautefeuille.

Les canidés continuent, génération après génération, de briller dans les concours internationaux de beauté canine. Les propriétaires de la Villa Patience consultent régulièrement leurs archives canines.

« Sans nos boxers, nous serions bien malheureux », affirme Daniel en jetant un coup d’œil aux chiens couchés à ses pieds.

Val-d'Oise. 150 postes à pourvoir à Éragny-sur-Oise avec Charlott'

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Le Bus job dating sera présent mardi 17 septembre à Éragny-sur-Oise.

Le Bus job dating sera présent mardi 17 septembre à Éragny-sur-Oise. (©Charlott’)

Jusqu’au 25 septembre 2019, l’entreprise Charlott’ se mobilise pour l’emploi en lançant une opération de recrutement pour informer sur les nombreuses opportunités d’emplois proposées aux personnes qui souhaitent démarrer une nouvelle activité de vendeur à domicile indépendant (Vdi) dans le domaine de la mode, à temps plein ou partiel.

Le Bus job dating fera escale mardi 17 septembre, de 9h30 à 11h, au Clos Santeuil (parking du restaurant Au Bureau et Grand Frais) au 4, rue des Érables à Éragny-sur-Oise (Val-d’Oise).

Au programme

– Découverte de la société et ses valeurs avec présentation de son univers et de la nouvelle collection lingerie et prêt-à-porter hiver 2019.
– Présentation détaillée du métier de conseillère/er, du secteur de la vente à domicile.

Depuis 10 ans, le secteur de la vente à domicile séduit les Français qui sont de plus en plus nombreux à se tourner vers ce canal de distribution.

« 93% des acteurs de la vente directe déclarent s’épanouir dans leur activité. »

Charlott’ est le leader de la vente de lingerie à domicile depuis 25 ans. Avec 24 millions d’euros de chiffre d’affaires et 2 800 vendeuses indépendantes et 1,5 million de clientes, c’est une véritable référence dans son secteur.

Craon : ce qu'il faut retenir de la première édition du V and B Fest'

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Boulevard des Airs a transporté le public hier avec ses titres

Boulevard des Airs a transporté le public samedi soir avec ses titres (©Le Courrier de la Mayenne)

Thiéfaine, Big Flo et Oli, Roméo Elvis ou encore Boulevard des Airs, la programmation du festival avait de quoi donner l’eau à la bouche au public.

Et les artistes n’ont pas déçu. Cette première édition du V and B Fest’ aura pourtant débuté avec l’agacement de nombreux festivaliers suite à la longue attente pour entrer sur le site vendredi soir. Finalement tout sera rentré dans l’ordre vers 22h et chacun a pu profiter des concerts. 

Les points forts

La programmation : il y avait du lourd à Craon pour une première édition. Les chanteurs ont fait le show tout le week-end et mis une chaude ambiance sur le festival. Il y en avait pour tout le monde. Petits et grands ont trouvé leur compte vendredi et samedi. Entre les enfants qui reprennent tous ensemble en coeur les chants de Big Flo et Oli, Boulevard des Airs qui réalise une battle entre deux groupes de son public ou encore les chants qui résonnaient encore quelques minutes après la fin du festival de Thiéfaine, le public a été conquis par les chanteurs.

Les animations à côté du festival : outre les concerts en eux-mêmes, le village du V and B Fest’ a apporté un plus au week-end. Placé à côté du festival, le village a proposé différentes animations avec du tennis de table, des concours de Mölkky ou encore des courses en sac pour les plus jeunes. De nombreux commerçants mayennais étaient aussi sur place pour proposer de quoi se restaurer, boire et même se couper les cheveux. Des burgers, des galettes saucisses, un coiffeur/ barbier, de nombreux bars… il y en avait pour tous les goûts. Un petit terrain de football et de volley a également été mis en place. De quoi faire passer le temps lors de la journée du samedi en attendant la reprise des concerts.

Lire aussi : Sylvain Duthu (Boulevard des Airs) : « Une fois sur scène, on sait que ça va être terrible »

La belle image 

Roméo Elvis. Alors qu’un mouvement de panique venait d’avoir lieu du côté de la sécurité après que des Pogos ont contraints plusieurs personnes à être évacués, Roméo Elvis a invité un jeune garçon à monter sur scène pour chanter avec lui son titre « Soleil ». Une belle image entre le rappeur belge et le jeune homme.

Les points à améliorer

L’accès au festival. Beaucoup sont ceux qui se sont plaints des conditions d’accès au festival vendredi. Il a fallu en effet attendre près d’une heure et demie entre l’arrivée sur Craon puis l’entrée sur le site pour de nombreux festivaliers. 

« On se rend compte que l’on a touché un public qui n’est pas forcément habitué aux festivals, aux gestes pour mettre les bracelets etc. Les gens sont arrivés au dernier moment et automatiquement si tout le monde arrive en même temps, cela cause des bouchons. C’est inévitable quand des milliers de personnes arrivent en même temps », se défend Antoine Porcher, directeur général du V and B.

L’attente pour la restauration et bars. Il aura fallu attendre de longues minutes afin de pouvoir se restaurer ou prendre un verre au festival. Certes, il y a souvent quelques minutes d’attente dans chaque festival mais vendredi puis samedi, ce fut particulièrement long à certains endroits. L’organisation ne s’attendait peut-être pas à un tel succès.

Lire aussi : V and B Fest’ : une deuxième soirée dans la continuité de la première sur le chemin du succès

Si tout n’a pas été parfait, rendez-vous est déjà pris pour l’année prochaine où l’organisation va pouvoir faire quelques petits ajustements. « On travaille déjà sur l’édition de l’année prochaine. On va améliorer certains points. De l’extérieur, on voit des choses à améliorer que même le public ne voit pas. On veut accentuer le confort des festivaliers. On est très exigeant envers nous même. On est à 95 % de positif mais on peut toujours s’améliorer », annonce Antoine Porcher.

 

"Pourquoi j'ai quitté Bordeaux" : qualité de vie, amours et aurores boréales, Thomas aime la Suède

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Thomas Norhadian s'est installé en Suède.

Thomas Norhadian s’est installé en Suède. (©Thomas Norhadian)

« L’étranger, ça m’a toujours attiré. Non pas que Bordeaux et sa Grosse Cloche soit lassants, ou même que la colonisation parisienne me repousse à ce point, mais l’idée de connaitre quelque chose de drastiquement différent m’a toujours attiré. »

Déjà huit ans en Scandinavie

Depuis août 2011, Thomas Norhadian a quitté la France. Actuellement, il habite à Karlstad, entre Stockholm et Oslo, où il a dégoté un excellent job : il est chargé d’affaires chez Rolls-Royce. Du coup, il vient d’acheter un immeuble et il compte bien se fixer en Suède.

Il y a huit ans, attiré par les pays nordiques et « leurs grandes étendues blanches et scintillantes », l’étudiant avait saisi l’opportunité de faire sa première année de master à Linköping pour apprendre l’anglais.

Lire aussi : « Pourquoi j’ai quitté Bordeaux » : à la recherche d’un nouveau souffle, Aurore a tenté le rêve canadien

Paysages suédois.

Paysages suédois. (©Thomas Norhadian)

Paysages suédois.

Paysages suédois. (©Thomas Norhadian)

À l’époque, jamais il ne se serait imaginé rester aussi longtemps à l’étranger… Mais le Bordelais a succombé aux charmes de la Scandinavie. Fjords, aurores boréales, mais pas que… :

Une Suédoise rencontrée sur le chemin des soirées à l’université, une année à profiter du pays et de la vie étudiante, et me voilà confronté à mon premier choix crucial de ma vie à l’étranger : ayant formidablement échoué dans ma première année de master, où redoubler ?

L’élève ingénieur a posé le problème sous forme d’équation et la réponse est venue naturellement : université de rêve + pays de rêve + copine suédoise = master en Suède.

Thomas Norhadian

Ålesund sous la neige. (©Thomas Norhadian)

C’était le départ d’une seconde vie en Scandinavie. Le master en poche, le tout frais diplômé a trouvé un travail en Norvège, à Ålesund. Le début d’une longue collaboration avec Rolls-Royce, une entreprise spécialisée dans la construction d’automobiles de luxe et de moteurs d’avion.

Des conditions de travail exceptionnelles

C’est sûrement l’une des plus belles villes imaginables, au creux des fjords norvégiens, sur la côte ouest et assez au nord pour profiter régulièrement des aurores boréales comme on ose à peine imaginer. Il pleut les trois-quarts du temps (22 jours par mois en moyenne…) mais ça a son charme. C’est tellement beau que ça ne change rien.

Avec son nouveau boulot, il bénéficie de conditions de travail exceptionnelles (8h-16h) et d’un salaire confortable. « Bref, même sans ma copine suédoise qui est retournée dans son pays, je ne vois pas de raison de changer quoi que ce soit », commente-t-il.

Lire aussi : « Pourquoi j’ai quitté Bordeaux » : en Colombie, Mélanie a trouvé l’éternel printemps

En Norvège, il était au milieu des fjords.

En Norvège, il était au milieu des fjords. (©Thomas Norhadian)

Après dix mois, l’ingénieur fait une parenthèse de quatre mois en Angleterre, toujours pour la même société, puis revient un an et demi dans la ville norvégienne. Il retourne même à Bordeaux pendant trois mois !

Comme Martin Fourcade

« Le tout avant de changer pour un poste stable en… Suède. » À Karlstad donc, où il a choisi de s’installer durablement, lassé par ses nombreux voyages.

Il y a moins de montagnes, mais beaucoup plus de soleil. Les conditions de travail sont toujours aussi exceptionnelles, si ce n’est encore meilleures. Le ski est plus présent et je laisse pousser la barbe pour ressembler le plus possible à Martin Fourcade.

La Scandinavie permet d'assister à de magnifiques aurores boréales.

La Scandinavie permet d’assister à de magnifiques aurores boréales. (©wikipedia)

Ses proches l’interrogent sur son possible retour en France. Il répond : « Au fil des années, la culture a commencé à me manquer. Surtout, la sensation d’avoir une personne en face de soi qui a les mêmes racines, qui réagit de la même manière, a les mêmes références culturelles, politiques, humoristiques. Oui, c’est une chose qui manque », reconnaît le Bordelais.

Des amis français

Pour autant, depuis qu’il a acheté son appartement, il s’investit dans la vie locale de Ålesund, il a rencontré des français avec qui il partage de la musique et du vin, et il partage sa vie avec une suédoise qui maîtrise parfaitement la langue de Molière.

Alors, son retour n’est pas vraiment d’actualité. Puis, comme il le dit avec un sourire taquin, il n’y a pas encore la LGV dans son patelin norvégien. Donc les appartements sont beaucoup moins chers qu’à Bordeaux. Un argument de plus, dans l’équation de l’ingénieur.

Thomas Norhadian a succombé aux charmes de la Suède.

Thomas Norhadian a succombé aux charmes de la Suède. (©Thomas Norhadian)

La magnifique vidéo de La Réole pour promouvoir son cadre de vie

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La vidéo promotionnelle de La Réole (Gironde), réalisée dans le cadre de l'opération "33 minutes pour changer de vie", met en avant le cadre de vie et le dynamisme de la cité millénaire.

La vidéo promotionnelle de La Réole (Gironde), réalisée dans le cadre de l’opération « 33 minutes pour changer de vie », met en avant le cadre de vie et le dynamisme de la cité millénaire. (©Capture d’écran – Ville de La Réole)

S’il devait y avoir une palme de la vidéo qui met le plus en avant une ville au Festival de Cannes, La Réole (Gironde) l’emporterait haut la main. Dans le cadre de l’opération « 33 minutes pour changer de vie », la cité millénaire s’est illustrée dans une vidéo magnifique dans laquelle son cadre de vie est plébiscité

« Je vais vous révéler mon histoire. » C’est par ces mots, après plusieurs phrases d’introduction, que le tempo de la vidéo s’intensifie pour raconter le dynamisme de la cité. Entre le patrimoine, l’agenda culturel, la proximité avec la Garonne, La Réole se dévoile. Et rien ne semble avoir été oublié. 

 

L’humain au centre de la vidéo

Les plans sont beaux, les images travaillées et l’humain, au centre de cette vidéo promotionnelle. C’est sans doute ce que la ville a souhaité mettre en avant en faisant apparaître des acteurs de la vie locale. On pense évidemment aux clubs d’aviron et de La Réole XIII, aux commerçants mais aussi aux nombreux locaux qui déambulent lors du marché du samedi matin

En un peu plus de trois minutes, ce sont de nombreuses facettes de la cité qui sont montrées. Son patrimoine -avec l’église Saint-Pierre et son orgue, le prieuré des Bénédictins et son cloître, les maisons en colombages ou encore le Château des Quat’Sos- ainsi que son dynamisme culturel, avec des prises de vues lors du festival Vicacité, de Planetfolk, du gala de l’école À Corps Danse ou encore de l’événement La Rue aux enfants, organisé par l’association Solid’Avenir

La Réole bouge tout au long de l’année et a des qualités à faire valoir. 

 

Vidéo > 33 minutes pour changer de vie par la mairie de La Réole

33 𝗺𝗶𝗻𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲

"𝟯𝟯 𝗺𝗶𝗻𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲"Venez découvrir l'incroyable vi(ll)e de La Réole

Publiée par La Réole – Ma Ville sur Mercredi 11 septembre 2019

 

33 minutes pour changer de vie

C’est dans le cadre de l’opération « 33 minutes pour changer de vie » que cette vidéo a été réalisée. L’événement se déroulera le 21 septembre 2019 et est destiné à attirer de nouveaux investisseurs, en leur présentant les projets structurants et innovants en cours, la capacité collective à les accompagner et les dynamiques associatives et culturelles. 

Des professionnels de l’immobilier seront présents dans l’espace du prieuré, de 10h à 17h, pour faire découvrir les atours de la ville, les aides mobilisables à destination des propriétaires et des futurs acquéreurs en centre historique ainsi que les opportunités immobilières à saisir. 

Deux tables rondes sont également programmés : la première à 10h30 à propos de l’habitat participatif, projet mené aux côtés de Gironde Habitat, avec présentation de projets innovants et témoignages des investisseurs. La seconde aura lieu à 11h15 avec témoignages de réalisations de projets portés par des Réolais et des néo-Réolais. 

Durant l’après-midi, c’est un parcours autour du patrimoine et de visions architecturales futuristes qui sera proposé avant que la soirée débute, à 17h, avec la Fête à Léo, puis la nuit du patrimoine. C’est un apéritif à 20h dans le cloître et des animations en soirée qui clôtureront cette journée riche. 

 

La ville de La Réole organise une nouvelle édition de son événement "33 min pour changer de vie », le 21 septembre 2019,…

Publiée par Marty Bruno sur Samedi 24 août 2019

Toulouse. Un couple infidèle à l'origine de la bagarre qui a entraîné la scène de panique au Capitole

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Scène de panique, dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 septembre 2019, place du Capitole à Toulouse, après une bagarre générale qui a viré à la rumeur sur les réseaux sociaux

Scène de panique, dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 septembre 2019, place du Capitole à Toulouse, après une bagarre générale qui a viré à la rumeur sur les réseaux sociaux (©Jimmy Bouyssié)

L’infidélité n’est pas un attentat… si ce n’est au couple ! On connaît le fin mot sur l’origine de la rixe, qui a entraîné un énorme vent de panique, dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 septembre 2019, place du Capitole à Toulouse, suscitant de folles rumeurs autour d’une fusillade imaginaire.

Lire aussi : Toulouse : mouvement de panique place du Capitole, autour de la rumeur d’une fusillade

Le fruit défendu

Tout est parti… d’un « couple infidèle » qui a été aperçu à la terrasse d’un café, place du Capitole, indique à Actu Toulouse la commissaire de police de permanence. Ces deux personnes, en train de siroter un verre en terrasse au Paradis du Fruit, ont été prises en flagrant délit. Le fruit défendu.

Bagarre et mouvement de panique

Rapidement, la situation s’est envenimée. Une rixe a alors éclaté entre plusieurs individus, avant de se transformer en bagarre générale. Un mouvement de panique s’en est suivi à la terrasse du Florida, célèbre brasserie de la ville, adjacente au Paradis du Fruit.

Et les coups ont plu. Puis vinrent les cris, les chaises et autres tables qui volent, les verres qui éclatent… Et les clients des terrasses qui se lèvent et détalent du Capitole, prenant la fuite en courant… En quelques minutes, la terrasse du Paradis du Fruit a été mise sans dessus dessous.

Un mouvement de panique place du Capitole, dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 septembre 2019

La terrasse du Paradis du Fruit a été mise sans dessus dessous, après un mouvement de panique place du Capitole, dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 septembre 2019 (©Jimmy Bouyssié)

La rumeur s’emballe

Des pétards auraient éclaté, avant ou après la bagarre, ce que des badauds auraient assimilé à des coups de feu (mais ce que la police ne confirme pas). Et partir de là, une folle rumeur est partie sur les réseaux sociaux, évoquant coups de feu, mitraillettes, fusillade, et même attentat. 

D’autant que la présence en nombre de policiers, et surtout celle – plus exceptionnelle – de militaires (en réalité, ceux de l’opération Sentinelle, ndlr), a bien sûr ramené le calme, mais a aussi, quelque part, alimenté l’idée qu’il se passait « quelque chose de grave »… Et puis, comme le dit un militaire dans une vidéo, il y aurait « des blessés ».

Pas de blessé, mais un malaise

Sauf que la police et le Service départemental d’incendie et de secours sont formels : ils n’ont pas eu à porter secours à des blessés au Capitole, simplement à évacuer une femme enceinte, victime d’un malaise pendant le mouvement de foule, vers 1 heure du matin. Quelques personnes auraient également été touchées par des éclats de verre, sans gravité.

Mais au final, pas de coups de feu, pas de fusillade, et encore moins d’attentat. Rien de tout cela.

Les arcades de la place du Capitole à Toulouse, dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 septembre 2019. Le périmètre a été bouclé après une scène de panique

Les arcades de la place du Capitole à Toulouse, dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 septembre 2019. Le périmètre a été bouclé après une scène de panique (©Jimmy Bouyssié)


Football. Démouville-Cuverville, le Petit Poucet, n’a pas retrouvé son chemin…

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Démouville-Cuverville a résisté devant Verson mais a fini par s'incliner 4-0 logiquement.

Démouville-Cuverville (en noir) a résisté devant Verson mais a fini par s’incliner 4-0 logiquement. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Pour les joueurs de Verson, le déplacement à Démouville possédait tous les ingrédients propres à un match–piège. Petit terrain sec et bosselé, des joueurs locaux hyper motivés, une galerie acquise à la cause du Petit Poucet et pour ne rien arranger, une chaleur plus propice à un tour à la mer qu’à un tour de coupe. Abordant le match avec concentration et ne relâchant jamais leur emprise sur le jeu, les hommes du président Lopez ont rendu une copie propre et surtout n’ont jamais le moindre espoir à leurs adversaires. Ces derniers, vaillants et disciplinés ont résisté plus d’une demi-heure avant de vaciller puis de craquer carrément après l’heure de jeu. Mais comme le reconnaissait Maurice Nouet le « toujours jeune » capitaine démouvillais :

Verson nous a pris au sérieux et ne nous a pas laissé la moindre possibilité de réaliser un exploit. Félicitations et bonne route à eux ! Quant à nous, c’est le genre de rencontre qui peut nous aider à progresser car nous avons quand même produit du jeu et proposé une belle résistance.

La raison du plus fort est toujours la meilleure… et en ce chaud dimanche, c’est bien Verson qui était le plus fort et dont le nom sera logiquement dans le chapeau pour le tirage du 4ème tour.

Lire aussi : Football. Les résultats du troisième tour de la Coupe de France dans le Calvados

Le match

Le premier tir de la partie (5è), qui fut l’œuvre d’un joueur local, Maurice Nouet en l’occurrence, annonçait une formation démouvillaise sans complexe et bien décidée à saisir la moindre opportunité pour tenter sa chance. Hélas pour la troupe de Mathias Loisy, Verson ne lui laissa plus la moindre occasion avant la pause, de scorer. Par contre, on peut dire que l’arrière garde des Départementaux fut souvent mise à rude épreuve et particulièrement sur son flanc droit où les visiteurs s’engouffraient avec délectation. Un premier centre de Corentin Denieul faillit profiter à Mickael Zami mais le coup de billard avec Dylan Dupont échoua à quelques centimètres du montant (7è).

Maurice Nouet, capitaine et avant-centre de Démouville-Cuverville.

Maurice Nouet, capitaine et avant-centre de Démouville-Cuverville. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Le portier des Noirs était ensuite tout heureux de détourner d’un tacle rageur le tir de Malick Gabriel sur son poteau. Mais Dylan Dupont ne put rien faire pour éviter le but de Malick Gabriel auteur d’un enchaînement contrôle-frappe en pivot de toute beauté (0-1, 33è). En coupe, l’ouverture du score est souvent déterminante mais il faut ensuite assurer le break. En transformant un lob facile en une passe-cadeau au gardien, Corentin Denieul rata une énorme occasion d’obtenir la qualification dés la première mi-temps (43è). Il faudra donc encore cravacher après les citrons…

Lire aussi : Football – Coupe de France. L’ASPTT Caen a mis son empreinte sur le match contre Bourguébus

Et comme les joueurs de l’ACDC jouèrent leur va-tout avec beaucoup d’entrain, les Versonnais durent resserrer les boulons pour repousser la révolte adverse. La mini-tempête passée, le ballon voyagea à nouveau vers le but de Dylan Dupont. Si ce dernier fut sauvé sur sa ligne par une intervention désespérée de Franck Marie qui détourna du crâne une tête de l’excellent Samuel Nambot (60è), il fut moins veinard sur le corner suivant botté par Malick Gabriel et repris d’un coup de tête imparable par Corentin Denieul (0-2, 63è).

Malick Fares est toujours décisif.

Malick Gabriel est toujours décisif. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

La fin du match allait s’avérer un long supplice pour les joueurs de Mathias Loisy qui voyaient avec appréhension des vagues successives déferlées sur leur but. Un trois contre un fut étrangement galvaudé par les attaquants de Verson (72è) mais dans la minute suivante, une mésentente entre Franck Marie et Tarik Maghfour profita au « grand Max » Leblanc pour le 3ème but (0-3, 73è). Les joueurs de Nicolas Vrel enfoncèrent un peu plus le clou grâce à Samuel Nambot servi par une talonnade géniale de Mickaël Zami (0-4, 80è). L’ASV aurait pu ajouter un 5ème but mais la frappe de Corentin Denieul se fracassa sur la barre et sa reprise se perdit dans les décors (86è)… Mais Démouville-Cuverville par sa bravoure et son grand cœur à l’ouvrage ne méritait pas de prendre une « manita ».

Lire aussi : Football. Les premiers résultats du troisième tour de la Coupe de France dans le Calvados

L'indispensable photo de Corentin Denieul pour son fan club, qui avait répondu présent derrière la main-courante de Démouville.

L’indispensable photo de Corentin Denieul pour son fan club, qui avait répondu présent derrière la main-courante de Démouville. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Fiche technique

Arbitre : Mr Rivognac ; Mi-temps : 0-1

Avertissements : Démouville : François (35è), Meche (87è)

Buts : Gabriel (33è), Denieul (63è), Leblanc (73è), Nambot (80è)

Démouville Cuverville : Dupont, Chetoui, Godefroy puis Meche (55è), Buhour, Marie, Cenedese puis Bouvet (47è) Maghfour, François, Nouet (cap), Auvray, Lelong puis Yildirim (55è); Entraîneur : M. Loisy

Verson : Nogues, Dorenlot, Levergeois, Nowak, Genissel puis Picard (62è) Aublet (cap), Zami, Le Roy puis Leblanc (62è), Nambot, Gabriel puis Bouaziz (76è), Denieul ; Entraîneur : N. Vrel

Un homme dans le match : Jorgen François

Quelle surprise de retrouver Jorgen François sous les couleurs de Démouville-Cuverville ? Non pas que l’équipe entraînée par Mathias Loisy ne soit autorisée à posséder quelques joueurs talentueux, mais c’est surtout le parcours atypique de Jorgen qui surprend. Classé grand espoir quand il évoluait en U17 à l’USON Mondeville, il avait été repéré et recruté par les responsables du centre de formation de Laval. C’est au centre de formation du Stade Malherbe où il avait signé qu’il devait ensuite parfaire sa formation mais un problème de santé stoppa net son séjour du côté de Venoix.

Jorgen François a eu un parcours singulier.

Jorgen François a eu un parcours singulier. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Après un retour vers la case Mondeville où il pratiqua en seniors, il décida un beau jour d’arrêter le foot parce que son travail lui prenait trop de temps. La pause-football dura un an et demi et en juin, avec ses copains Dylan Dupont et Maxime Buhour, il proposa ses services au club démouvillais. L’équipe évolue en D2 mais peu importe :

J’avais surtout envie de retrouver du plaisir sans me prendre la tête. Jouer à ce niveau ne me dérange pas du tout. Je m’éclate tous les dimanches et l’esprit est vraiment cool.

Est-ce à dire que l’ambition de retrouver un niveau plus haut est abandonnée ?

On ne sait pas ce que l’avenir nous réserve. J’ai 21 ans et donc encore quelques saisons devant moi mais pour l’heure je trouve mon bonheur sur le terrain et ça me plait bien.

Jorgen François au due aérien.

Jorgen François au due aérien. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Contre Verson, il fut l’un des rares joueurs à soutenir la comparaison avec ses adversaires. Garçon longiligne et parfois nonchalant, Jorgen a développé une grosse activité en milieu de terrain ratissant par ici, relançant judicieusement par là mais le combat était trop inégal :

Verson a une énorme équipe et a pris le match avec beaucoup d’application. Rien à redire sur leur victoire et même si on a pêché sur le plan physique, on a fait honneur à nos couleurs. Maintenant place au championnat où nous avons une belle carte à jouer pour retrouver le D1.

Bernard Guyonnet

Transports en bus. Ce qui change pour les scolaires et les usagers à Vire Normandie

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Dans un souci de clarification, l’ensemble de ces deux services (transports scolaires et urbains) a été attribué à Voyages Robert

Dans un souci de clarification, l’ensemble de ces deux services (transports scolaires et urbains) a été attribué à Voyages Robert (©La Voix Le Bocage)

Dans un souci de clarification, l’ensemble de ces deux services (transports scolaires et urbains) a été attribué à Voyages Robert. Dorénavant, c’est lui qui assurera les transports scolaires sur l’ensemble du territoire de la commune nouvelle. 466 enfants seront pris en charge tout au long de l’année sur 164 arrêts (aucune modification par rapport à l’an passé). La mise en service de cars plus petits permet de revoir certains circuits. Si à Coulonces, le circuit est raccourci, et qu’il n’y aura plus d’arrêt à Gathemo, il y a deux nouveaux lieux de ramassage à Maisoncelles-la-Jourdan. Les circuits ont également été rallongés à Roullours et Vaudry.

Il faut aussi noter que Voyages Robert assurera l’information aux familles directement en cas d’intempéries à la place de la collectivité.

Une fusion des 2 lignes

Voici le nouveau circuit du transport urbain.

Voici le nouveau circuit du transport urbain. (©Vire Normandie)

En ce qui concerne le transport urbain. Les deux lignes existantes ont fusionné pour n’en former plus qu’une. Le maire, Marc Andreu Sabater explique : 

Nous avons analysé les montées et les descentes des usagers avant de prendre cette décision »

Lire aussi : Berty Besnehard ouvre sa salle de fitness, détente et squash à Vire Normandie

Voyages Robert assurera le circuit au départ de la gare tous les jours dès 7 h. Il ajoute : 

Nous avons aussi voulu privilégier les zones d’activités afin de faciliter les choses pour les salariés et les intérimaires »

Un bus neuf est mis en circulation depuis quelques jours. Il a la particularité de posséder deux places pour personnes à mobilité réduite alors qu’il n’y en avait qu’une dans les cars précédents.

La collectivité n’a pas fait le choix de la gratuité des transports. Le tarif est de 1 € le trajet ou 7,50 € le carnet de 10 voyages et 6,50 € pour les jeunes. Il est également possible de bénéficier de tarifs réduits pour les personnes qui bénéficient de la CMU.

Lire aussi : Les 5 nouveautés de la rentrée au théâtre du Préau à Vire Normandie

Le transport à la demande pour tous

Enfin, c’est encore Voyages Robert qui assura les transports à la demande dits Tadami.

En revanche, il est toujours nécessaire d’appeler les services techniques de la ville afin de réserver sa course. Rappelons qu’il s’agit d’un service à tous les habitants de la commune nouvelle de Vire Normandie. Le voyagiste prend les personnes directement à leur domicile pour les déposer à Vire dans les créneaux de 8 h 45/9 h 15 et 13 h 30/14 h et de 11 h 45/12 h et 16 h 45/17 h. Les personnes en fauteuil roulant peuvent également en profiter. La course aller-retour est d’un coût de 4 €.

Football. Les féminines du SM Caen réalisent un carton dès leur premier match en R2

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Léa Quinio et les joueuses du Stade Malherbe Caen ont lancé leur saison en R2 par un très large succès contre Gravenchon devant un public venu nombreux.

Léa Quinio et les joueuses du Stade Malherbe Caen ont lancé leur saison en R2 par un très large succès contre Gravenchon devant un public venu nombreux. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Ils étaient plusieurs centaines à s’être massés dans la tribune principale de Venoix. Amoureux du Stade Malherbe Caen, familles et simples curieux ne voulaient pas manquer l’instant historique. Pour la première fois depuis plus de 30 ans, une équipe féminine défendait les couleurs du club centenaire. Malherbe avait raté le train du football au féminin quand la plupart de ses adversaires de Ligue 1 et Ligue 2 avaient compris l’importance de monter dedans. L’erreur a été corrigée, et il y avait sûrement pas loin de 400 personnes, dimanche 15 septembre 2019, dans un stade qui a vu les plus beaux exploits du SMC. Léa Quinio, capitaine de l’équipe :

Je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’il y ait autant de monde. Les gens ont peut-être envie de voir ce que ça donne chez les filles. 

La défenseure centrale Chloé Charlot.

La défenseure centrale Chloé Charlot. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Pour voir, ils ont vu. Le Stade Malherbe n’a rien à faire en Régional 2, même si sa présence y est logique. Caen n’a pas eu de passe-droit et s’est vu contraint de démarrer au plus bas échelon régional. En face, Gravenchon n’avait rien demandé à personne et s’est retrouvé opposé à des joueuses de bon niveau R1 voire de D2. Forcément, dans une pratique où les écarts sont vite immenses, il n’y a pas eu photo.

Gravenchon n'a quasiment jamais eu le ballon entre les pieds.

Gravenchon n’a quasiment jamais eu le ballon entre les pieds. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Le score aurait pu être bien plus lourd…

Malherbe n’a fait qu’une bouchée des Seinomarines, battues 12-0 quand le score aurait pu être – sans mentir – le double. Mélissa Renard et Léa Quinio se sont offert un triplé. Tracy Nkodia et Manon Rubos ont vu double. Tatiana Bastard, d’une superbe frappe lointaine, et Zoé Beulay ont elles aussi contribué au score. Pourtant, la satisfaction d’Anaïs Bounouar, l’entraîneure caennaise, était très mesurée au coup de sifflet final.

Dans le contenu, on doit et on peut faire mieux. C’est une évidence. Notre match ne reflète pas ce que nous faisons en séance. Le rythme, c’est à nous de le mettre. Mais il ne faut pas oublier que les filles sortent de préparation. 

Caen a tenté de mettre du rythme face à une équipe en grande difficulté.

Caen a tenté de mettre du rythme face à une équipe en grande difficulté. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

L’écart était tel entre les deux équipes que les circonstances peuvent expliquer les difficultés locales à imposer un rythme soutenu. « En termes de contenu, je ne suis pas du tout satisfaite de ce qu’on a fait, balaye Léa Quinio. On est tombé dans un faux-rythme après notre premier but rapide. Et il y a eu trop d’échecs au tir. » Cela peut surprendre au vu du score, mais les Caennaises n’ont pas été assez tueuses. C’est encore à remettre dans un contexte de très gros déséquilibre de niveau… 

Les réactions d’Anaïs Bounouar en vidéo

Les réactions de Léa Quinio en vidéo

Duathlon – Division 2. Caen s’impose et accède à la D1

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L'équipe de duathlon (vélo et course à pied) du Caen Triathlon accède à l'élite de la discipline !

L’équipe de duathlon (vélo et course à pied) du Caen Triathlon accède à l’élite de la discipline ! (©Caen Triathlon)

Après avoir parfaitement maîtrisé son sujet sur la première partie de saison (une deuxième place et deux victoires), le Caen Triathlon abordait la finale avec le costume de favori, ce dimanche 15 septembre 2019. En Vendée, Thomas et Martin Laurent se sont à nouveau distingués en terminant deuxième et troisième de l’épreuve. Une belle performance qui aura été une vraie bouffée d’air au moment de calculer les points pour le classement par équipe. En terminant 18e, Dorian Louvet a permis de classer l’équipe. Les rouges et blancs s’imposent finalement d’un point devant Vallons de la Tour Triathlon.

Lire aussi : Duathlon – Division 2. La montée en D1 et le titre pour Caen ?

Une domination sans partage

Le Caen Triathlon décroche le titre de champion de France des clubs de D2 avec un total de 88 points sur 90 possibles. Les Sables Vendée Triathlon prennent la 2e place avec 76 points juste devant Vallons de la Tour Triathlon (75 points). Ces deux clubs accompagneront les Caennais en Division 1 à partir du mois d’avril 2020.

Le classement général.

Le classement général. (©Prolivesport.fr)

L’équipe féminine n’a malheureusement pas réussi à se hisser en finale de D2. Elle prend la sixième place par équipe lors de cette demi-finale de zone Centre-Ouest. Léa Lerille s’est classée 17e, juste devant Louise Lubin (18e) et Aglaé Bardet (20e). Amélie Raffin termine 26e et Manon Dagorn 35e.

Lire aussi : VIDEOS. Vairé : les Beach Boys des Sables Vendée Triathlon se classent 3e et montent en D1 de duathlon !

Ils ont dit :

Thomas Laurent 

« On rêvait d’un podium ensemble, c’est la cerise sur le gâteau après la victoire par équipe. Partager ça entre frères, c’est que du plaisir. Nous sommes partis en tête, le premier vélo était très compact, il fallait se replacer avant la transition. Avec Martin, nous avons effectué une grosse deuxième course à pied pour nous replacer. Nous étions une dizaine sur la seconde partie vélo, l’objectif était de faire la meilleure transition possible avant de tout donné sur la dernière course à pied.

On réussit un beau tir groupé. On est très fiers d’être récompensés de nos efforts. Le regard est tourné vers la saison prochaine. Il faudra de l’apprentissage mais on a prouvé que l’on avait notre place en D1. »

L'équipe masculine.

L’équipe masculine. (©Caen Triathlon)

Martin Laurent

« C’est un aboutissement après avoir terminé deux fois quatrième sur les manches précédentes. C’est super de partager le podium avec mon frère. C’était une course très spécifique avec un format multi-enchaînements que nous avons bien géré. C’est une récompense après la frustration lors de la finale D3 en triathlon (7e par équipe), cela nous tenait à cœur de valider la montée avec la manière. »

Lire aussi : Martin Laurent (Caen Triathlon) : « Je révise mes cours de droit sur le home trainer »

Dorian Louvet

« C’était mon premier duathlon de la saison, le dernier s’était terminé par une chute la saison dernière. Les consignes du coach étaient donc claires : ne prendre au risque sur le vélo. Je réussis à faire un top 20 avec la forme du moment ce qui est plutôt satisfaisant. Nous avons une équipe solide. Cette montée me donne envie de m’investir davantage en duathlon. Je suis impatient de matcher en D1 avec le club. »

Lire aussi : Dorian Louvet, l’équilibriste qui n’en finit pas de surprendre

Les équipes filles et garçons réunies.

Les équipes filles et garçons réunies. (©Caen Triathlon)

Mikaël Richomme

« On avait tout à perdre sur cette finale. L’expérience nous a aidés à bien gérer la course. Nous avons accompli un beau travail d’équipe. On va découvrir la D1 la saison prochaine. Le Caen Triathlon aura des arguments à faire valoir à ce niveau. »

Malcolm Duquesney

Deux accidents impliquant des motards font trois morts dans le Nord

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Trois personnes sont mortes dans le Nord dimanche 15 septembre 2019, dans des accidents impliquant des motards.

Trois personnes sont mortes dans le Nord dimanche 15 septembre 2019, dans des accidents impliquant des motards. (©Illustration/Actu.fr)

Deux nouveaux drames de la route se sont déroulés dans le Nord dimanche 15 septembre 2019. Bilan : deux accidents et trois morts à Bousbecque et Hargnies.

Dans les deux cas, des motards étaient impliqués.

Lire aussi : Pas-de-Calais. Un motard se tue dans un accident à Bouvigny-Boyeffles

Choc très violent

A Bousbecque, le drame a eu lieu aux alentours de 17 h. Sur le boulevard de la Lys, une moto et une voiture sont entrés en collision, semble-t-il à grande vitesse.

Les deux passagers de la moto ont été projetés sur plusieurs dizaines de mètres. Âgés d’une vingtaine d’années, ils sont tous deux décédés.

Blessé gravement, le conducteur de la voiture a été transporté vers l’hôpital.

🚨 [#intervention en cours]Accident routier à Bousbecque, boulevard de la LysL'accident entre une voiture de tourisme…

Publiée par SDIS 59 sur Dimanche 15 septembre 2019

Choc avec un engin agricole

A Hargnies, c’est un motard de 27 ans qui est décédé. L’accident s’est produit aux alentours de 17 h 30.

Le motard aurait violemment heurté un tracteur. Malgré leur arrivée rapide, les secours ont tout tenté pour le sauver, en vain.

Dans les deux cas, une enquête a été ouverte pour comprendre les circonstances exactes de ces accidents.

⚠️🚨 Autre accident routier, autre drame à HargniesEn cette fin de journée, un #accident entre un tracteur et une moto…

Publiée par SDIS 59 sur Dimanche 15 septembre 2019

250 emplois à Brest pour les fondations du parc éolien de la baie de Saint-Brieuc

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La technologie des fondations retenue par Ailes Marines est de type jacket trois pieds (photo Navantia).

La technologie des fondations retenue par Ailes Marines est de type jacket trois pieds (photo Navantia).

Le consortium Ailes Marines, en charge du développement, de la construction, de l’installation et de l’exploitation du futur parc éolien en mer de la baie de Saint-Brieuc (Côtes d’Armor), a annoncé, lundi 16 septembre 2019, avoir sélectionné la société espagnole Navantia pour la fabrication des 62 fondations des éoliennes en mer qui équiperont le parc.

Lire aussi : Parc éolien dans la baie de Saint-Brieuc : mise en service en 2023

Polder de Brest

Les composants de la fondation seront assemblés sur le polder de Brest sur un espace dédié de 11 hectares situé au nord du site.

L’assemblage complet aura lieu en Espagne et le port de Brest sera à nouveau mobilisé pour une surface de stockage temporaire avant envoi des fondations sur le site.

Le polder de Brest et son quai « colis lourds », ainsi que les autres quais du port, serviront à la réception, la préfabrication, la logistique et au transport des composants.

Soudeurs, manutention…

Ce chantier en plein air mobilisera entre 2021 et 2023, un minimum de 250 emplois équivalent temps plein sur 2 ans, avance Ailes Marines.

Parmi les métiers concernés : soudeurs, oxycoupeurs, opérateurs de manutention, échafaudeurs, superviseurs qualité…

Port du Havre

La technologie des fondations retenue par Ailes Marines est de type jacket trois pieds.

Il s’agit de structures sous forme d’un treillis métallique en acier pesant jusqu’à 1 175 tonnes, pour une hauteur pouvant atteindre 74 mètres, fixées sur le fond marin par des pieux.

Les éoliennes seront, elles, fabriquées au port du Havre.

 

Le projet en chiffres
– 75 km² de superficie
– 62 éoliennes Siemens-Gamesa de 8 MW
– 496 MW de puissance installée
– 1 820 GWh/an de production, soit la consommation annuelle en électricité de 835 000 hab. (chauffage compris)

1e série. "On n'y était pas du tout mentalement" regrette Jérôme Bouchère de Cazaux

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Biganos XV a raté le coche pour la qualification.

Biganos a commencé très fort avec une belle victoire à l’extérieur face à Eysines (10-41). Image d’illustration. (©Ohvalie)

Étonnante rentrée du côté de la poule 3 de 1e série en Nouvelle-Aquitaine, ce week-end du 14-15 septembre. Trois équipes sont allées gagner à l’extérieur, et largement  (le Stade Bordelais et Lavardac) ! Voici le débrief et les réactions.

Bruges Blanquefort 14 – 44 Stade Bordelais

Rodrigue Dhuin (joueur du Stade Bordelais, en tribune pour ce match)  : « Avec un nouveau staff, un nouveau projet de jeu et quelques nouveaux joueurs, nous avons mis du temps à nous trouver, encore des imprécisions technique que nous devons régler à l’entraînement. Nous nous sommes rassurés sur notre conquête et nos lancements de jeu. Nous devons améliorer notre niveau de jeu global individuellement et collectivement pour la suite du championnat. »

RC Villenavais 19 – 34 Lavardac

Jean-Christophe Gaillo (entraîneur, Lavardac Barbaste) : « Sous une chaleur accablante, nous faisons une très bonne entame. On marque deux essais, nous campons dans leur camp pendant 20 minutes, puis après avec la fatigue, on les laisse revenir. On tourne à 24 à 12 à la mi-temps. En deuxième période le jeu est plus haché, les nouvelles règles sur le plaquage plus les conditions climatiques vont donner l’occasion à Mr l’arbitre de siffler beaucoup plus de pénalités.

La rencontre se termine sur le score de 34 à 19. Pas de bonus offensif car 5 essais à 3 pour nous. Nous lançons la saison de belle manière. »

Lire aussi : 1e série. Les résultats et classements du week-end du 14, 15 septembre 2019

Richard Dubos (entraîneur de Villenave d’Ornon) : « C’était en face une belle équipe de Lavardac qui a su jouer sur ses forces. Nous avons présenté nous une équipe de Villenave encore en rodage. Nous pouvons aussi parler des nouvelles règles qui pourrissent le jeu. Cela reste un résultat tout de même logique, même si Villenave aurait pu aller chercher le point défensif. Nous sommes en apprentissage du niveau requis en 1e série. »

Eysines 10 – 41 Biganos

Pierre Richard (co-entraîneur des 3/4, Eysines) : « Bravo et félicitations à Biganos pour leur belle victoire mérité. Une belle satisfaction de notre nouveau deuxième ligne Schlomè Bensoussant, il a été un vrai shérif, intouchable en touche, il a fait un 100% en mêlée ! Notre nouveau manager, Romain Rocques, a trouvé le temps trop lourd pour que notre pack puisse s’exprimer à sa juste valeur. Nous déplorons la faillite de notre talonneur et buteur Alexandre Poza qui aurait pu nous laisser un espoir… »

Cazaux 17 – 10 Miramont

Jérôme Bouchère (Cazaux) : « Techniquement on était largement au dessus, mentalement on n’y était pas du tout. C’est une équipe renouvelée à 80% manquant malheureusement de repères. On a fait preuve d’une absence de combativité devant, quasiment aucune touche récupérée, trop de fautes de jeu face aux poteaux avec les nouvelles règles de plaquage… bref on se mange la feuille tout seul… on va travailler tout ça à l’entraînement et ça devrait le faire, on reste confiant pour la suite du championnat. »

Bouscat 33 – 13 Castillon

Pierre Chateau (ailier, Castillon) : « On s’attendait à avoir affaire à une équipe dense et ils nous ont surpris d’entrée de match. On s’est bien ressaisi défensivement et avons bien exploité nos ballons d’attaque pour prendre le score. Dommage de perdre le bonus à 5 minutes de la fin. C’est un peu frustrant au vu des efforts faits pour préparer cette échéance. »


Ligue des champions : Kylian Mbappé et Edinson Cavani forfaits face au Real Madrid, confirme le PSG

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L’attaquant du PSG Kylian Mbappé en séance d’entraînement au Camp des Loges le 13 septembre 2019. (©AFP/Archives/GEOFFROY VAN DER HASSELT)

Le Paris Saint-Germain a confirmé lundi 16 septembre 2019 le forfait de ses stars Kylian Mbappé et Edinson Cavani, tous les deux blessés, pour le choc de la première journée de Ligue des champions contre le Real Madrid, mercredi.

Le club a indiqué que les deux buteurs, dont le rétablissement suit une « bonne évolution », allaient reprendre le programme complet de l’entraînement en « fin de semaine », laissant entrevoir leur retour à Lyon dimanche en Ligue 1

Neymar suspendu

Cette annonce, si elle est sans surprise, reste un coup dur pour l’entraîneur Thomas Tuchel, qui devra également composer sans Neymar, suspendu, pour cette affiche de gala.

Face aux Espagnols, le technicien allemand devra opter entre la doublure Eric Maxim Choupo-Moting et la recrue Mauro Icardi pour occuper l’axe de son attaque.

Mbappé s’est blessé à la cuisse gauche contre Toulouse (4-0) mi-août, le même jour que Cavani, qui s’est fait mal à une hanche.

Lire aussi : Ligue 1 : guichets fermés, blessures de Mbappé et Cavani… ce qu’il faut savoir avant Metz-PSG

L’infirmerie s’est remplie très tôt au PSG, et reste bien garnie. Dans le même communiqué, le club a indiqué que le jeune défenseur Colin Dagba serait absent « deux à trois semaines » en raison d’une lésion aux ischio-jambiers droit.

Julian Draxler et Thilo Kehrer « continuent leurs soins » de leur côté.

Le retour progressif de Mbappé constitue également une bonne nouvelle pour les Bleus de Didier Deschamps avant deux matches décisifs en octobre, en Islande le 11 octobre puis contre la Turquie le 14.

Lire aussi : Ligue 1 : de retour, Neymar offre la victoire au PSG face à Strasbourg

Source : © 2019 AFP

Seine-et-Marne. Des périmètres sans tabac bientôt instaurés près des écoles de Melun

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Dès le mois de novembre, il sera interdit de fumer devant l'ensemble des écoles de Melun avec la mise en place du label Espace sans tabac, proposé par la Ligue contre le cancer

Dès le mois de novembre, il sera interdit de fumer devant l’ensemble des écoles de Melun avec la mise en place du label Espace sans tabac, proposé par la Ligue contre le cancer (©La Rep 77/JVC )

Après Mormant, première ville de Seine-et-Marne à instaurer un périmètre du genre, la ville de Melun veut chasser les fumeurs des abords des écoles. D’ici le mois de novembre, des périmètres d’interdiction de fumer vont être instaurés devant les écoles de Melun. Ce label, Espace sans Tabac, est décerné par la Ligue contre le cancer de Seine-et-Marne.

Aires de jeux

« Notre objectif n’est pas de s’attaquer aux fumeurs, mais de mener une politique de santé pour donner l’exemple aux enfants, que les écoliers ne voient pas de cigarettes dès leur sortie de classe », tempère d’emblée Jean-Pierre Rodriguez, adjoint au maire de Melun, notamment en charge des questions de santé.

Si l’annonce a été réalisée en marge de la rentrée scolaire, une application dès septembre semblait précipitée. « Ce dispositif sera appliqué en concertation avec les directeurs d’établissements », précise l’élu melunais. La délimitation de ces zones sera définie selon chaque école et se fera sous forme de marquage au sol, agrémenté d’un panneau d’information.

Si l’arrêté municipal n’est pas encore pris, la mesure devrait concerner l’ensemble des écoles melunaises dès le mois de novembre, lors du mois sans tabac. Dans un premier temps, une période de pédagogie sera proposée pour les contrevenants. Jean-Pierre Rodriguez l’affirme, « il n’y aura pas d’amende la première année, mais on compte sur les parents pour jouer le jeu. »

« Une certaine logique »

Ce dispositif sera également appliqué aux aires de jeux de la ville. « Les gens peuvent être frileux par rapport à ce dispositif, mais il faut bien comprendre que c’est un geste de santé publique », insiste Nadine Delcroix, la directrice de la Ligue contre le cancer de Seine-et-Marne.

« Autour des écoles, les espaces sans tabac répondent même à une certaine logique. Les parents d’élèves doivent s’emparer de ce sujet et la sensibilisation doit commencer dès l’école. »

Après Mormant, la Ligue contre le cancer espère que la démarche de la ville-préfecture puisse donner des idées à d’autres communes de Seine-et-Marne pour obtenir ce label. « Notre ambition est de créer une génération sans tabac, insiste Nadine Delcroix. Il faut ‘dénormaliser’ le fait de fumer.

Au-delà de la pollution engendrée par les mégots, il ne faut pas oublier que les enfants sont souvent à hauteur et qu’ils sont les premiers concernés par la fumée. » Du côté de l’opposition, l’initiative est accueillie favorablement. 

« C’est une bonne chose à expérimenter, mais pour mesurer son efficacité il faudrait un suivi, avec un protocole. On pourrait par exemple solliciter des étudiants en sociologie pour compter le nombre de fumeurs aux abords des écoles avant et après l’instauration de la mesure », précise Claude Bourquard, conseiller municipal d’opposition (SE) du groupe Bien vivre à Melun.

La guerre aux mégots

En octobre dernier, la municipalité avait déjà annoncé sa volonté de durcir sa politique pour lutter contre la saleté dans les rues, notamment face aux mégots de cigarettes. Ainsi, les personnes surprises en train de jeter un mégot sur la chaussée s’exposent à une amende de 68 €.

S’il ne s’agit que de l’application du code pénal (Article R-633-6) qui prévoit une contravention « en cas de dépôt de jet ou d’abandon des déchets, ordures, déjections ou tout autre objet de quelque nature qu’il soit », peu de communes réalisent des verbalisations pour ce motif. À Melun, de nombreux riverains s’étaient plaints de la problématique, notamment à proximité de bars ou de restaurants.

Marie-Amélie MARCHAL/ @marieam_marchal

Après 5 ans de procédure, l'Hyper U de Douvres-la-Délivrande va pouvoir s’agrandir

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Le centre commercial Hyper U de Douvres-la-Délivrande va s'agrandir de près de 8 000 m2.

Le centre commercial Hyper U de Douvres-la-Délivrande va s’agrandir de près de 8 000 m2. (©Liberté le Bonhomme Libre)

« Six ans c’est énorme. On a attendu, maintenant on va y aller. » Patronne de l’Hyper U de Douvres-la-Délivrande près de Caen (Calvados), Laurence Carpentier est « soulagée et toujours un peu abasourdie », souffle-t-elle. Son projet d’extension du centre commercial a été validé.

8 000 m2 en plus

Jeudi 12 septembre 2019 (lire l’encadré), la commission nationale d’aménagement commercial (CNAC) a autorisé l’agrandissement de l’Hyper U de Douvres de 7 957,5 m2.
« Une bonne nouvelle » pour Laurence Carpentier après des années « d’incompréhension. »

Le dossier qui vient d’être validé, c’est exactement le même qu’en 2013. Pas une virgule n’a changé.

5 ans de procédure
Le 18 septembre 2014, la CDAC (commission départementale d’aménagement commercial) donne son accord pour l’agrandissement de l’Hyper U.
Ensuite, dans son arrêt rendu le 2 juillet 2019, la cour administrative d’appel de Nantes résume la situation : « suite à des recours formés par la commune de Courseulles-sur-Mer, la SCI FVKL (ndlr : SCI qui a fait construire le Leclerc Blainville), la SAS Courseulles Distribution (ndlr : Carrefour Market Courseulles) et la SAS Carrefour Hypermarchés, la Commission nationale d’aménagement commercial (CNAC) a refusé cette autorisation par une décision du 11 février 2015. Par un arrêt du 8 mars 2017, la cour administrative d’appel de Nantes a annulé cette dernière décision et a enjoint à la commission nationale de réexaminer la demande… Le 6 juillet 2017, la CNAC a émis un avis défavorable. »
L’Hyper U de Douvres (SAS Douvres Distribution) a alors demandé une nouvelle fois à la cour administrative d’appel de Nantes d’annuler la décision de la CNAC. Cour qui, le 2 juillet 2019, a annulé la décision de la CNAC, et a enjoint cette dernière d’autoriser l’agrandissement de l’Hyper U. Ce qui a été fait le 12 septembre 2019.

Dans le détail il s’agit d’agrandir le supermarché de 1 400 m2. Pour le reste (6 400 m2 environ) la création de 8 moyennes surfaces et 5 petites surfaces étaient envisagées.
« Pour les cases commerciales, la volonté est toujours la même, mais il va falloir contacter et revoir toutes les enseignes qui voulaient s’installer il y a 6 ans. »

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D’ici 2 ans

Pour le magasin Hyper U en revanche « on va y aller tout de suite », annonce Mme Carpentier. « Je pense que dans 2 ans, les travaux seront faits. » Dans le magasin, 125 salariés (hors saison) y travaillent.
Les 1 400 m2 d’extension de l’hypermarché (4 100 m2 actuellement) viseront à agrandir les allées et les surfaces de vente.

Aujourd’hui, nous n’avons pas assez de places pour proposer tous les produits. Ni assez de surface pour travailler. On doit toujours réapprovisionner en milieu de journée.

Pas de concurrence avec le centre-ville

Dès samedi 14 septembre 2019, la dirigeante d’entreprise a rencontré les commerçants de Douvres. Pour rappeler son projet et réaffirmer que : « l’idée est de ne surtout pas concurrencer les commerces du centre-ville. »

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Adrien Mottais prend la tête de la liste "Mayenne s'écrit ensemble"

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Adrien Mottais a officialisé son choix d'être la tête de liste de Mayenne s'écrit ensemble.

Adrien Mottais a officialisé son choix d’être la tête de liste de Mayenne s’écrit ensemble. (©Le Courrier de la Mayenne.)

La liste « Mayenne s’écrit ensemble » vient de dévoiler sa tête de liste.

Il s’agit d’Adrien Mottais (UDI), président de l’association Mayenne Perspectives.

Lundi 16 septembre 2010, lors d’une conférence de presse, cette liste sans étiquette, a présenté également les 23 membres qui la composent actuellement.

Un choix d’être « sans étiquette » assumé par Adrien Mottais :

« Chacun a des convictions personnelles et des idées, mais ici, c’est Mayenne et ses concitoyens qui comptent avant tout ! »

La liste des 23

Au total, douze hommes et onze femmes venant de la société civile.

Tous originaires ou habitant Mayenne. Et ils le revendiquent haut et fort.

Francine Angot, 59 ans, employée commerciale.

Claire Chevillard, 33 ans, cadre hospitalière.

Anne Clery-Geoffroy, 48 ans, assistante de direction dans l’industrie agro-alimentaire.

Noëlle Guibé, 47 ans, aide soignante en reconversion et présidente du club Coeur et santé.

Valérie Jones, 41 ans, gestionnaire de ressources humaines.

Myriam Lemardelé, 36 ans, chargée d’affaires dans l’électronique.

Amélie Longuaive, 37 ans, professeur des écoles.

Julia Martin, 26 ans, employée de banque.

Joëlle Rouyère, 69 ans, enseignante retraitée.

Magali Raoul, 46 ans, magasinier cariste.

Gaëlle Vallienne, 22 ans, étudiante en graphisme et communication.

Du côté des hommes, la liste comptera dans ses rangs :

Jean-Yves Bréhin, 54 ans, manager de magasin et président  du CDOS 53.

Fabien Dutet, 40 ans, pharmacien.

Benoît Faucon, 38 ans, agriculteur.

Alban Francou, 38 ans, ostéopathe.

Jean-Yves Garreau, 40 ans, technicien des eaux.

Yann Geoffroy, 58 ans, officier retraité de la marine marchande.

Pierre-Elie Guyon, 25 ans, juriste.

Gérard Haubois, 64 ans, agent de maitrise retraité.

Pierre Loyer, 35 ans, éducateur sportif.

Guillaume Ouin, 40 ans, conseiller technique habitat.

Jean-Michel Tridon, 50 ans, commerçant.

« Réveiller notre ville pour en révéler tout le potentiel »

Au cours de cette rapide présentation, Adrien Mottais est revenu sur les orientations que lui et ses colistiers souhaitent  imprimer.

« Notre objectif est  de réveiller notre ville pour en révéler tout le potentiel. Nous avons également à coeur d’aller à la rencontre des Mayennais et d’échanger avec eux autour de notre projet qui se base pour l’instant sur neuf axes. « 

Parmi les neuf orientations évoquées :

 » Travailler à la revitalisation du centre ville et son dynamisme commercial en se focalisant notamment sur la question des loyers trop élevés. Le volet sécurité est également à l’étude. Objectif, faire progresser la tranquillité publique en créant une police municipale et en développant la vidéoprotection. »

Et la tête de liste de réaffirmer :

« Nous souhaitons également replacer la propriété au coeur des préoccupations. Réfléchir également avec les acteurs médicaux et politiques du territoire afin d’impulser des initiatives innovantes pour un meilleur accès aux soins de proximité. Développer les animations municipales en concertation avec les commerçants et les habitants (en revoyant par exemple les jours de marché et son emplacement, remettre la cale dans sa situation de centralité, etc) »

Bien d’autres sujets ont été abordés lors de cette conférence de presse avec notamment la création d’un schéma pour une mobilité raisonnée en développant le service  de transport en commun, le vélo électrique ou encore le covoiturage coopératif.

La liste « Mayenne s’écrit ensemble » souhaite également  favoriser les circuits courts, développer les usages du numérique avec la création d’une application « Mayenne, ma ville «  ou encore réinventer la vie citoyenne en mettant en place une personne référente par quartier, en consultant les habitants, etc.

Autant de sujets sur lesquels la liste souhaite débattre et discuter.

Pour cela, un mail a été ouvert afin de collecter les avis des uns et des autres via l’adresse :

mayenne.secrit.ensemble@gmail.com ou sur les réseaux sociaux (page Facebook ou Twitter @MayenneEnsemble).

Toulouse. La chienne "Lara" débusque la coke dans l'appartement du dealer présumé

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La chienne "Lara" et on flair, ont permis aux policiers de la BST Mirail de mettre la main sur  500 grammes de cocaïne.

La chienne « Lara » et on flair, ont permis aux policiers de la BST Mirail de mettre la main sur 500 grammes de cocaïne. (©Illustration/Adobe Stock)

Ils le trouvaient un peu trop proches des guetteurs présents sur ce point de deal de Bellefontaine, à Toulouse. La surveillance des policiers de la BST Mirail s’est donc focalisé sur cet homme de 28 ans qu’ils soupçonnaient de chapeauter la petite structure hors-la-loi.

Valeur marchande : 30 000 euros

Une opération était donc montée jeudi 12 septembre 2019 en collaboration avec la brigade territoriale Mirail et la brigade canine. Spécialisée dans la recherche des produits stupéfiants, la chienne « Lara » s’est régalée. Elle a justement marqué l’appartement dans lequel vit le suspect.

Une petite perquisition plus tard, la besace des stups s’est garnie de 500 grammes de cocaïne, 130 grammes de résine de cannabis et de 70 grammes d’herbe. Soit une valeur marchande de plus de 30 000 euros, auxquels s’ajoutent 2 200 euros en liquide découverts sur place.

Déféré devant la justice, l’homme, qui nie les faits, devrait être jugé en comparution immédiate.

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